Louise Labé

Louise Labé a  appris à parler plusieurs langues, à jouer de la musique (son surnom était Madame de luth), à faire du cheval et à maîtriser les arts des armes traditionnellement réservés aux hommes comme l’escrime.

Alors qu’elle était assez jeune, elle a été mariée à un cordier riche et plus âgé qu’elle (son surnom était également la belle cordière). La richesse de son mari explique qu’elle ait eu les moyens de se consacrer à sa passion favorite, la lecture. A une époque où les livres étaient précieux et rares, elle possédait une propre bibliothèque avec des œuvres importantes en plusieurs langues.

Cette femme bourgeoise tenait aussi un salon qui était un point de ralliement pour les intellectuels et les gens de lettres (comme par exemple l’écrivain Maurice Scève), dont la réputation allait jusqu’en Italie. Par ailleurs, elle fréquentait des poètes liés à la Pléiade.

Louise Labé passe aussi pour être une femme émancipée avant la lettre. Celle-ci en appelait aux femmes qui en avaient les moyens à cultiver leur intelligence et à s’investir dans la société. « En science et vertu passer ou égaler les hommes » est par exemple une de ses citations. Selon elle, l’idée humaniste du perfectionnement de l’homme valait aussi pour les femmes. Dans ses ouvrages, elle évoque l’amour et le rang social de femmes.

Après son veuvage précoce en 1555, grâce à un privilège accordé par le roi, elle a pu publier un recueil nommé « Œuvres de Louise Labé, Lyonnaise » qui contient en plus de 24 poèmes écrits par d’autres poètes lyriques des œuvres  de sa main : un texte en prose, trois élégies courtes et les 24 fameux sonnets influencés par Pétrarque. Vers 1560, elle a déménagé dans un domaine qui se trouvait aux abords de Lyon et où elle est morte le 25 avril 1566, probablement de la peste.

Vers la fin du 16ième siècle, Louise Labé est tombée dans l’oubli, peut-être à cause des troubles des guerres de religion qui se déchaînaient à cette époque ou peut-être à cause de Calvin, réformateur et autorité religieuse, qui l’avait honnie pour son mode de vie émancipé. Mais depuis que son œuvre a été publié de nouveau en 1760, Louise Labé est jusqu’à aujourd’hui considérée à côté de Maurice Scève comme la représentante la plus importante de l’École Lyonnaise.

Finalement, on peut regretter qu’il n’existe pas aujourd’hui plus d’informations détaillés sur la vie de cette femme aux mille facettes. C’est la raison pour laquelle plusieurs légendes existent sur sa vie. Même dans le champ des Lettres une théorie portée par la thèse de Mireille Huchon, professeur à la Sorbonne, affirme que Louise Labé n’a jamais existé.

Références bibliographiques:

https://de.wikipedia.org/wiki/Louise_Labé

http://www.labe.websiteportal.de/biografie.html

http://profshistoirelcl.canalblog.com/archives/10___louise_labe__1524_1566_/index.html

http://profshistoirelcl.canalblog.com/archives/2006/06/15/2130425.html

http://www.unjourunpoeme.fr/auteurs/labe-louise

 

 

Biographie 

Louise Labé (Louize Labé) était une lyrique française née vers 1524 à Lyon dans une famille bourgeoise de cordiers bien aisés dont les origines étaient italiennes. Malheureusement sa mère, qui était la deuxième épouse de son père, est morte très tôt.

À l’époque de la renaissance, la ville de Lyon était un prospère centre économique, politique et intellectuel. Il y avait des influences italiennes sur l’art et sur la culture. A cette époque, l’imprimerie connaissait ses débuts et la ville de Lyon était particulièrement connue pour ses imprimeries. Louise Labé passait pour être une femme intelligente et belle. Elle a eu une éducation humaniste grâce à laquelle elle a pu participer à la vie intellectuelle ; ce qui était inhabituel pour une femme en ce temps-là.

par Svenja F.

Julie Tirard zu Gast an unserem Institut

Julie Tirard zu Gast an unserem Institut

Am 26. Oktober freuen wir uns, die französische Autorin und Übersetzerin Julie Tirard bei uns begrüßen zu dürfen: Im Rahmen eines Master-Seminars wird sie einen Schreibworkshop zum Thema Lyrik anbieten.

2011 übernahm Julie für ein Jahr die Leitung des Theaters Art en Scène in Avignon und inszenierte ihr erstes, von ihr selbst verfasstes Stück „Un dada dans le noir“, beim Festival Off Avignon. 2013 zog es sie als freie Journalistin nach Berlin, wo sie 2016 das feministische Online-Magazin „Girlshood“ mitbegründete. In diesem Sinne geprägt ist auch ihre Arbeit als Übersetzerin von Texten feministischer Autorinnen, u. a. Julia Korbik, Bettina Wilpert, Sivan Ben Yishai. Julies eigene Gedichte sind in verschiedenen Zeitschriften erschienen, und teilweise wiederum selbst ins Deutsche übersetzt worden. Ihr letzter Theatertext „Jusqu’à ce que le mur tienne“ wurde 2023 mit der Aide à la création nationale ausgezeichnet und beim Festival Actoral in Marseille von Sarah Delaby-Rochette inszeniert. 

Seit mehreren Jahren nun leitet Julie erfolgreich Schreibwerkstätten mit Erwachsenen und Schüler.inne.n in Deutschland, Frankreich und in der Schweiz. Einige Ergebnisse dieser Ateliers sind auf einem Blog zu lesen: 

https://lesateliersohe.wordpress.com/

Eine Übersicht über Julies vielseitiges Schaffen findet ihr auf ihrer Homepage: 

https://www.julietirard.com

Und oben findet ihr natürlich eine kleine Kostprobe ihres Schaffens aus dem Band „L’Hôtel“, den ihr hier auch online findet:

https://hoteldesautrices.com/home-residence/julietirard/

 

Text: Prof. Dr. Daniel Fliege

Der Workshop wird am 26.10.2023 ab 16:15 Uhr im Phil-Turm, Raum 10007 stattfinden. Alle interessierten Personen sind herzlich eingeladen!

 

 

Cine de género(s) – 2022/2023

Cine de género(s) – 2022/2023

Durante el semestre de invierno 2022/2023, participé en el „Curso temático: Cine de género(s)“ bajo la dirección de la Dra. Ana Cecilia Santos, enfocado en la perspectiva de género en el cine. Este curso se llevó a cabo de manera paralela a un curso equivalente en francés dirigido por el Dr. Sébastien Rival. Se organizaron proyecciones en conjunto de películas en español y francés.

El curso de español se dividió en tres partes. En la primera etapa, nos dedicamos a adquirir una base teórica sólida. Comenzamos leyendo textos relacionados con la teoría de género, la teoría del cine y el análisis cinematográfico. Luego, aplicamos estos conocimientos teóricos a diversos cortometrajes. Inicialmente, analizamos estos cortos en pequeños grupos y luego compartimos nuestras reflexiones con todo el curso. Durante estas discusiones, exploramos una amplia gama de aspectos, como el uso de la música y los colores, la composición de la imagen, la perspectiva de la cámara y las posibles interpretaciones del cortometraje.

En la segunda parte del curso, cambiamos nuestro enfoque de los cortometrajes a largometrajes. Vimos dos películas dirigidas por Lucía Puenzo (Argentina). La primera, titulada „XXY„, trata de la vida de Alex, una persona intersexual. La segunda película, llamada „El niño pez„, narra una historia de amor entre dos mujeres de diferentes clases sociales. Para cada película, un grupo de expertos preparó una introducción y moderó un debate posterior a la proyección. Estas discusiones fueron enriquecedoras y se conversaron temas diversos, como por ejemplo el papel de la mujer, la sexualidad, el género, las relaciones tóxicas y las familias disfuncionales.

En la tercera parte, creamos un póster académico sobre cada película. Uno de los desafíos más grandes fue ser creativos y diseñar una portada alternativa que fuera llamativa, visualmente atractiva y que al mismo tiempo incorporara elementos clave de las películas para dar una primera impresión. En la última sesión de clase, presentamos nuestros resultados y llevamos a cabo una votación para seleccionar la mejor portada y el mejor póster. Fue fascinante observar las diferentes perspectivas y enfoques de los distintos grupos, así como escuchar las razones detrás de sus elecciones.

Como complemento al análisis de cortometrajes y películas en clase, cada estudiante eligió un cortometraje relacionado con una temática de género que consideró apropiado para crear una propuesta didáctica en el contexto de la enseñanza del español como lengua extranjera (ELE). Desarrollamos ideas sobre cómo implementar y trabajar estos cortometrajes en una clase de ELE. Con los debates en clase, fue la parte que personalmente más me gustó porque nos permitió diseñar estrategias para abordar temas de actualidad de manera alternativa y auténtica en el aula. Esta experiencia se convirtió en una oportunidad valiosa para fomentar el desarrollo de la competencia intercultural de manera interactiva y para poder promover discusiones sobre estereotipos con el objetivo de generar conciencia sobre su presencia en la sociedad.

 

Jenny Siemer

 

 

Análisis e interpretación visual de la película El niño pez

Un semestre Erasmus à Bordeaux

Un semestre Erasmus à Bordeaux

Comme vous le savez peut-être déjà, Kate et moi sommes actuellement à Bordeaux pour un semestre d’études à l’étranger. Un semestre à l’étranger est synonyme de beaucoup d’expériences positives, mais il y a aussi toujours de nouveaux obstacles et de petits problèmes qui peuvent tempérer la légèreté de la vie. Dans cette contribution, nous allons vous proposer au cours des prochains mois une sorte de guide évolutif qui abordera les points les plus importants d’un séjour Erasmus. Nous espérons ainsi non seulement vous donner un aperçu de la vie étudiante à Bordeaux (qui est très variée et surtout riche en événements artistiques et culturels), mais aussi vous donner quelques mots clés à prendre en compte lors du choix d’une ville pour un séjour en France.

Se loger

Pour trouver une chambre ou un appartement à Bordeaux, il est préférable de commencer le plus tôt possible à effectuer des recherches privées. Comme les résidences universitaires sont très populaires et peu chères, il faut compter sur de la chance pour y avoir une place (ce qui peut bien sûr être très différent dans d’autres villes). Comme le semestre commence ici dès septembre, la plupart des étudiants se préoccupent très tôt de trouver un logement. En tant qu’étudiant étranger, il faut faire particulièrement attention à ne pas se faire arnaquer lors de la recherche sur Internet. De nombreux arnaqueurs circulent sur diverses plates-formes et semblent n’attendre que l’arrivée d’étudiants étrangers inconscients et dans le besoin. Le mieux est donc d’essayer de chercher via des contacts privés qui ont déjà loué un appartement ou une chambre à Bordeaux. Sinon, la plateforme « La carte des colocs » est un bon moyen de trouver une colocation. L’avantage de cette option est que ce sont souvent des Français qui cherchent une personne à héberger. Cela augmente les chances de se faire une bonne idée de la ville, car on découvre des coins qu’on ne découvre pas forcément seul (il y a trop de choses à voir !).

Il est également utile de se renseigner à l’avance sur les prix moyens des loyers afin de ne pas être surprise (en effet, je pensais que les loyers à Bordeaux seraient certainement un peu moins élevés qu’à Hambourg, mais en réalité, les prix dans les deux villes se ressemblent beaucoup !).

Transports

Même si Bordeaux est bien connectée par des bus et surtout par le tram (réseau de transport TBM), cela vaut vraiment la peine d’acheter un vélo. Sinon, le matin et l’après-midi (c’est-à-dire juste au moment où l’on doit se rendre à l’université), on peut se sentir à l’étroit et avoir très chaud dans ces boîtes en acier roulantes. L’Université Bordeaux Pessac se trouve à l’extérieur et au sud de la ville. L’idée idyllique de Kate et moi de lire dans le tram à l’aller et au retour n’a malheureusement pas pu être réalisée en raison des circonstances. Mais grâce à nos vélos, nous avons maintenant des activités sportives quotidiennes à faire, ce qui nous fait de bien ! En particulier dans le centre-ville, le vélo permet de se déplacer beaucoup plus rapidement et de gagner du temps. Mais il faut faire attention : Les rues sont souvent mal conçues, certains automobilistes sont agacés par les vélos et donc, un casque à vélo n’est pas un luxe ! Sur notre trajet quotidien, nous roulons la plupart du temps sur les traces du tram, ce qui est toujours passionnant, car il faut à chaque fois prendre une nouvelle décision : Allons-nous chasser le tram ou est-ce le tram qui nous chasse ? Dans tous les cas, il est important de toujours garder les yeux et les oreilles ouverts. Kate l’a très bien exprimé : faire du vélo ici, c’est comme être dans un jeu vidéo. On ne sait jamais ce qui va se passer ou ce qui va surgir au coin de la rue !

Université – Organisation

A l’Université Bordeaux Montaigne, tout le monde fait des efforts pour accueillir les étudiants internationaux. Cependant, l’organisation est un peu chaotique, par exemple pour les réunions d’information et le choix des cours. Mais avec la confiance que tout se passera bien, tout se passe bien. Une fois les premiers obstacles surmontés, le bureau Erasmus de Hambourg rencontre parfois quelques problèmes. L’argent se fait attendre et nous avons des idées créatives, par exemple pour obtenir de l’argent en jouant les artistes de rue. Mais là encore, il faut avoir confiance et ne pas perdre espoir. A la fin, tout s’arrange généralement.

 

Cours

Un aspect qui mérite d’être souligné ici est l’offre de cours de l’université. L’offre est très variée, surtout dans le domaine de la littérature, mais aussi de la sociologie, de l’art, de la philosophie, etc. L’université propose même un master sur le thème du genre, auquel il est possible de participer en tant qu’étudiant étranger.

Au début, l’enseignement lui-même a été très fatigant pour Kate et moi : L’ensemble d’une nouvelle ville, d’entendre sans cesse une langue qui n’est pas la nôtre, le manque de clarté dans différentes situations, la bureaucratie… tout cela nous a bien fatiguées et nous nous sommes couchées très tôt les premiers jours. Petit à petit, nous nous habituons au fait que les cours durent 120 minutes et que, contrairement à notre habitude, ils sont beaucoup moins interactifs. Du moins au début. On distingue les cours magistraux (Vorlesung) et les travaux dirigés (Seminar), et les enseignants font pendant les deux formats de très longs monologues. Néanmoins, je constate, surtout dans les cours de master auxquels j’assiste, que lorsqu’il y a des questions, les étudiants les posent de manière pertinente et parfois provocante, qui fait souvent trébucher les professeurs, car ils les sortent de leur monologue et les obligent à dialoguer. Même si plus d’interactivité serait souhaitable, le contenu des cours est très précieux. Les informations sont présentées de manière très concise et les professeurs parlent souvent de domaines de leur propre recherche, ce qui rend les cours très vivants. Kate et moi ne reviendrons pas seulement à Hambourg avec un meilleur français, mais aussi avec une tonne d’idées, d’inspirations, d’aperçus sur des sujets qui nous sont encore inconnus de même que de nouvelles perspectives sur différents discours !

Sujets à venir (entre autres) :

Culinarité

Culture (étudiante)

Explorer les environs de Bordeaux

Cours

Université – Organisation

Campus et CROUS

Bibliothèques

Théâtre

Cinéma

Échange interculturel

Sport

Musique

Danse

La Dune du Pilat

Espaces pour travailler

Excursion du cours „À mourir d’aimer“

Excursion du cours „À mourir d’aimer“

Le cours du semestre d’été 2023, intitulé « À mourir d’aimer – Verhandlung der HIV/AIDS-Pandemie in frankofonen Kulturen der Gegenwart », dirigé par le nouveau professeur de notre faculté, Dr. Daniel Fliege, a traité de la littérature sur le sida, écrite principalement par des auteurs homosexuels qui ont été infectés pendant les « années sida » (env. 1981-1995).  Ce thème a été abordé par de nombreux auteurs masculins (comme Hervé Guibert ou Fabrice Neaud), mais également par des femmes. Le texte « On n’est pas sérieux quand on a 17 ans » de la française Barbara Samson en est un exemple. En outre, nous avons également considéré des œuvres de littérature francophone écrite en dehors de l’Hexagone. L’accent a été mis sur les œuvres des auteurs africains Abibatou Traoré (Sénégal) et Moudjib Djinadou (Bénin). Ces œuvres élargissent le sujet en se concentrant sur des thèmes tels que la polygamie et les conséquences du colonialisme dans ces pays. Notre approche des sciences littéraires s’est construite à partir de ces différents aspects. Nous nous sommes penchés, entre autres, sur le genre littéraire, la représentation narrative de l’infection et de ses conséquences sur le corps des personnes touchées par le virus, ainsi que sur les phénomènes sociaux véhiculés par le discours officiel diffusé par les médias à l’époque du SIDA. Il est surtout apparu clairement que des groupes déjà marginalisés, comme les personnes homosexuelles, mais aussi les toxicomanes et les prostituées, ont subi une condamnation sociale renforcée par le discours médiatique qui a attisé la peur et le dégoût envers ces groupes.

Daniel Fliege a participé à la fin du mois dernier à une conférence sur l’auteur Guillaume Dustan et a présenté un exposé intitulé : « Un besoin de s’afficher ? A propos du rapport entre le SIDA et l’esthétique du corps homosexuel dans Dans ma chambre ». Dustan est un auteur plutôt inconnu jusqu’à présent, ce qui n’a pas empêché l’Université de la Sorbonne d’organiser un colloque de deux jours où des chercheurs de France, d’Italie, des Etats-Unis, du Canada et d’Allemagne se sont rencontrés pour partager et discuter de leur travail en séance plénière. En tant qu’étudiants, nous avons eu la chance d’accompagner Daniel Fliege et d’assister aux conférences dans les bâtiments de l’université. L’excursion a été cofinancée par l’université à la demande de Daniel Fliege, ce qui nous a donné l’occasion d’avoir un aperçu de la Sorbonne. En dehors de la conférence, nous avons eu l’occasion de mieux connaître la ville. Daniel Fliege, qui a lui-même étudié et vécu à Paris, nous a montré le quartier latin, le Marais, ainsi que d’autres lieux universitaires du centre-ville.

En écoutant ses propres expériences, nous avons pu imaginer à quoi cela ressemblerait d’étudier dans cette ville. De plus, pendant notre temps libre, nous avons visité la BNF et les expositions qui s’y trouvent, nous sommes allés au théâtre de la Colline, au musée médiéval de Cluny, certains d’entre nous sont allés au Louvre et d’autres ont assisté à un concert de musique classique dans une église. En résumé, cette excursion nous a donné un aperçu de la vie étudiante et culturelle parisienne. De plus, nous avons pu rompre l’anonymat qui règne souvent dans les cours et entrer en contact les unes avec les autres. Tous les participants étaient satisfaits et très reconnaissants de ces belles journées. Ci-joint quelques photos qui donnent un aperçu de notre excursion. A la prochaine Paris…